mardi 7 juin 2011

Appel à témoignages : quotas dans les entreprises

Vous êtes sympathisant ou militant politique ?
Vous connaissez les propositions des partis ou mouvements politiques français sur les quotas en entreprise ?
Vous souhaitez défendre vos convictions ou critiquer les propositions des autres ?
Vous pensez avoir une autre vision (ça, c'est pour m'inclure) ?

Alors, contactez-moi, ou répondez en commentaire, et donnez votre avis ou celui des autres sur ce sujet !


De nombreuses disparités existent aujourd'hui en France pour l'emploi. Egalité homme/femme, taux d'emploi des jeunes et des séniors, insertion des handicapés, représentation des « minorités visibles », discrimination par l'orientation sexuelle, la religion, le lieu de domicile... Pour combler ces inégalités, la mise en place de quotas est parfois proposée.

Un autre type de quotas...

Qu'en pensez-vous ? Bonne mesure ou simple soin palliatif ? Trop restrictif ou inapplicable ? Exprimez-vous, je ferai bientôt un bilan de tous ce que j'aurai pu entendre.

1 commentaire:

  1. Les quotas appartiennent à une logique fausse, du moins à une logique qui ne fonctionne qu'en sens unique, c'est une pratique discriminante pour "rattraper" une discrimination.
    Je m'explique :
    la discrimination positive visant à donner à quelqu'un un emploi, un concours, une fonction, au regard de sa sexualité, de sa résidence, nie le pseudo- mérite républicain.

    Proposer des quotas pour les "jeunes" issus des "quartiers" dans nos grandes écoles est inadmissible. Puisque ces "jeunes" - mot édulcoré pour désigner en réalité les hommes et les femmes immigrés - issus de l'immigration pour plus coller à la norme - n'ont pas d'autres mérites qu'être né dans une banlieue "sensible" ou d'être noirs - ou des "blacks", des "renois" ou des "personnes de couleurs" - les autres étant nés incolores.
    Ces gens sont quelques fois et dans le plus pire des cas écartés de tout mode de sélection, tels que les concours ou encore certaines épreuves.
    Il est faux de croire que - à l'exemple des "jeunes" "défavorisés" introduit dans un établissement banal - ces "jeunes" ne montrent pas l'effort d'intégration ou d'assimilation au choix, et même si nos politiciens croient qu'une des deux solutions pourra fonctionner, on remarque que depuis 30 ans l'échec est cuisant.

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